À la famille de Lucile,plus particulièrement à Agnès,j’ai appris par Frédéric Texier le décès de Lucile et je n’ai pas voulu y croire ,j’ai pensé qu’il s’agissait de quelqu’un d’autre..Je ne voulais pas accepter que je ne la reverrais plus.J’ai rencontré Lucile au cours de Frédéric,j’ai admiré sa belle chevelure,sa ligne parfaite ,sa droiture..plus tard nous avons causé et nous nous sommes vues en ville,j’ai découvert un peu sa vie,son amour de la danse,de la beauté,de l’art.;et je suis désolée de ne pas l’avoir revue ces dernières années ,de n’avoir pas su qu’elle était malade.J’étais moi-même démoralisée et incapable de joindre mes amis.Il est
terrible de penser que sa vie ,si austère,solitaire,dure,s’est terminée si tôt et de façon si pénible.Je craignais pour elle la retraite,je pensais qu’elle souffrirait beaucoup d’être privée de vie professionnelle; c’est consternant que le destin ne lui ait pas permis le repos,la liberté,le renouvellement .Je vous présente mes très sincères condoléances pour la disparition de Lucile,qui méritait tellement l’amitié et l’affection,qui en a tant manqué.Pour ma part je demeure affligée de sa disparition et je prends part à votre chagrin. Avec toute ma sympathie et dans le souvenir d’une femme que la vie a meurtrie et qui disparaît trop tôt. Véronique Estève
À la famille de Lucile,plus particulièrement à Agnès,j’ai appris par Frédéric Texier le décès de Lucile et je n’ai pas voulu y croire ,j’ai pensé qu’il s’agissait de quelqu’un d’autre..Je ne voulais pas accepter que je ne la reverrais plus.J’ai rencontré Lucile au cours de Frédéric,j’ai admiré sa belle chevelure,sa ligne parfaite ,sa droiture..plus tard nous avons causé et nous nous sommes vues en ville,j’ai découvert un peu sa vie,son amour de la danse,de la beauté,de l’art.;et je suis désolée de ne pas l’avoir revue ces dernières années ,de n’avoir pas su qu’elle était malade.J’étais moi-même démoralisée et incapable de joindre mes amis.Il est
terrible de penser que sa vie ,si austère,solitaire,dure,s’est terminée si tôt et de façon si pénible.Je craignais pour elle la retraite,je pensais qu’elle souffrirait beaucoup d’être privée de vie professionnelle; c’est consternant que le destin ne lui ait pas permis le repos,la liberté,le renouvellement .Je vous présente mes très sincères condoléances pour la disparition de Lucile,qui méritait tellement l’amitié et l’affection,qui en a tant manqué.Pour ma part je demeure affligée de sa disparition et je prends part à votre chagrin. Avec toute ma sympathie et dans le souvenir d’une femme que la vie a meurtrie et qui disparaît trop tôt. Véronique Estève